Ce poète nommé FOURNIER, sur lequel nous n’avons pu retrouver d’éléments biographiques, publia en 1858 à Paris, à l’imprimerie Guillois, un long poème où il chantait « La Canne ». L’objet était à la mode, aussi bien comme accessoire vestimentaire que comme instrument de défense et d’escrime. Ce poème (très long, nous le publions en deux fois) [...]
Jamais autant qu’au XIXe siècle les poètes n’ont célébré la canne et le bâton, et nous avons déjà donné plusieurs oeuvres sur ce sujet : de l’abbé Reyre (Le vieillard et son bâton), de Bressier (Le bâton du vieillard), d’André Theuriet (La canne du grand-père), de Victor Denis (La fable des deux cannes), de Raymond [...]