La teinture des fils de soie, laine ou coton en écheveaux ou en mateaux (paquets de fils en forme de grosse corde fermée) s’effectuait jadis dans de grandes cuves où l’on mélangeait dans de l’eau chaude les matières tinctoriales et autres ingrédients. Le « Nouveau manuel du teinturier » par A. D. VERGNAUD, paru chez Roret en 1837, [...]